EDSC 30 – stage Coume Ouarnède toussaint 2016
Programme de la semaine
1er jour :
- 1 équipe Trou Mile – Hérétique
- 1 équipe Hérétique – Trou Mile
2 eme jour :
- 1 équipe If – Reymonde
- 1 équipe Dupleyssi – Raymonde
- 1 équipe Reymonde Dupleissi
3eme jour :
- 1 équipe Bernard – PDG (échec) repli déséquipement If
- 1 équipe PDG – Bernard (pas de jonction donc aller/retour)
- 1 équipe Pyrénois – Penne Blanque
4eme jour :
- 1 équipe PDG
- 1 équipe Barnache et puis Penne Blanque
- 1 équipe PDG – Penne Blanque
Les comptes rendus des jeunes :
Lundi 24 octobre
Nous sommes à la Coume Ouarnede dans le gîte de Paloumère en compagnie de l’EDS 30 et 48 :
Chez les Gardois, nous avons Guilhem, Camille, Léo, Adrien, Adeline (Maki le chien), Enzo et Mathieu (Aria le chien).
Chez les lozériens, il y a Ange, Corentin, Florent (1), Florent (2), Arthur Tanguy, Zélie et Prune du 74, David, Mia, Pib et le tout petit Dan (Ursus) et le vrai, le fameuuuuuux Ben’s !
Le principe de ce stage était de faire de la spéléo… ha bon ? La particularité de ce massif…c’est un vrai gruyère ! On est venu pour faire de la spéléologie ou du fromage ?! Il est donc possible de traverser d’un coté, de l’autre, de se croiser…ou non…de se perdre, de se retrouver… Bref, tout ça à l’infini !
C’est un vrai bordel…mais super sympa !!!
Donc pour le premier jour deux équipes :
– Le trou Mille -> Zélie, Tangui, Arthur, Adrien, Léo, Florent (1), Enzo, Adeline et Mathieu.
– Pour les Hérétiques -> Ange, Florent (2), Prune, Corentin, Camille, Guilhem, Pib et David
Point de vue du trou Mille:
Après que l’équipe 2 ai trouvé les Hérétiques, Zélie équipa le premier puit. Le bas du ressaut était occupé par des salamandres – une dizaine (il exagère toujours ces jeunes, ha ha ha !!!). Suite à une étroiture un P10 (P = puit) équipé par Léo, mais comme c’était pas craignos et qu’il mettait du temps on est passé devant lui (à vrai dire en dessous). Peu après nous trouvame la rivière aquatique (toi, tu connais une rivière non aquatique ?) dans une caverne souterraine et nous la suivames jusqu’au croisement avec l’autre équipe. On était propre mais la jonction était boueuse (pour une fois qu’on avait de belles combis). Puis un P15 à remonter (bien dégeulasse) et des étroiture pour déboulé dans un immense volume : un couloir haut d’une trentaines de mètres, large d’une vaigtaines et long d’une centaine (ces mesure sont peut être fausse mais l’important c’est que c’était grand). Il fallait trouver une étroiture sur la gauche et remonter un P20, un P10 et enfin un P25.
Pour nous récompenser une bonne douche en sortant.
Adrien et Léo
Mardi 25 octobre
Ce jour là, les équipe n’ont pas était mémorisé par la petit cervelle du narrateur donc c’est un point de vue éclusivement centré sur l’équipe qui part du trou de l’If et qui sort par le Raymonde.
Le programme:
– équipe 1 -> Ange, Guilhem, Léo, Adrien, Enzo et David qui part de l’If et qui va au Raymonde
– équipe 2 -> ? qui part du Raymonde jusqu’au Dupléci
– équipe 2 -> ? qui part du Dupléci jusqu’au Raymonde
Le trou de l’If était dur à trouver car sont seul marquage c’est un bel if au dessus de l’entré (dit comme ça, ça a l’air facile mais c’était loin des sentiers et surtout c’était pommé). Après une bonne partie de cache-cache avec l’entré, Adrien équipa le premier puit (P15). Des étroiture s’en suivit pour qu’ensuite Ange équipa la suite de ressaut et de puit. Léo équipa le reste sauf lorsque nous nous rendimes compte qu’il manquait 2 cordes. Nos enkitteur bien aimé (Léo et Adrien) à ce moment là avait prévu une corde de sécurité au cas où et en plus David avait la sienne, c’était parfait puisqu’il restait 2 puit à équiper. Le premier se fit sans difficulté maiiiiis… nous avions plus de mousquetons (merci la fiche d’équipement qui en demandait 14 plus le rab de sécurité ce qui fait au total 20 et il en manque). L’équipement fut donc une réussite. La remonté du Raymonde commença par la recherche de le reste dans un volume assé grand ce qui fait que c’était assé chiant. La suite était un P10,P20 dans une étroiture flippante pour continuer encore une étroiture flippante. Après un ébouli, la majéstueuse entrée : un P30 large de 10m recouvert de mousse. C’était sympas sauf pour ceux qui ont peur du vide (#JeSuisGuilhem).
Nos enkitteur de l’amour:
Adrien et Léo
Mercredi 26 octobre
Encore une fois, récit de l’équipe du narrateur.
– équipe 1 -> Florent1, Ange, Guilhem, Léo, Adrien, Enzo et Pyb pour les Pyrénnois-PenneBlanc
– équipe 2 -> ? pour Pontiabo-Bernard
– équipe 2 -> ? pour Bernard-Pontiabo
Une marche d’approche très très longue pour avoir un puit avec courant d’air puissant. C’était sympas car lorsqu’on lancait des feuilles elles étaient expulsées. Adrien équipa le puit d’entré à la mode canyon c’est à dire arrivé en bas on tire un des 2 brins et la corde déscend (holà holà ça veut dire qu’elle est pas ataché?! – Si c’est juste que celui qui déscendra en dernier défait les sécurité et peut déscendre que sur un des deux brins). Ensuite Léo continua le 2ème ressaut et Guilhem tenta déquiper le puits suivant. Et c’est là que c’est devenu le flou artistique au niveau de la topo, en tout cas pour Adrien. Arrivé au P20 Pyb jetta une caillasse et c’est seulement après 5 secondes que l’on entendis l’atterrissage.
Certitude n°1 : le puit était énorme.
Le P20 fut équipé par Pyb et à la marjelle du « P30 », Adrien fit office de crash test. Au bout d’un moment dans la déscente, il se rendit compte que la salle était gigantesque, quelque chose comme 100m sur 200m. Il se rendit compte qu’en profondeur il y avait aussi 100m…
Certitude n°2 : Adrien n’était pas frais.
Un problème de plus, la longueur de corde était de 40m.
Certitude n°3 : Il fallait trouver une autre issu.
Heureusement qu’il s’aperçu qu’il y avait une main courante équipé en fixe. En fait la salle était plan incliné avec au milieu le P100. Suplément chauves
souris mais pas une, 10 000 chauves – souris en
une seule grappe de la surface d’un camion. Un peu
d’émotion pour ensuite trouvé de la place pour manger
(c’était pas très compliqué de trouver un espace dans
ce volume). Suite à 3 salle du même type mais
échelle X-10, un puit à déscendre et un ressaut à
remonter et un laminoir haut de 2m et large de 5m.
Un P20 puis un vrai laminoir où on rampe
et où on se met plein de boue et enfin le jour.
Pour nous récompensé, la marche de retour fut plus
raide, plus longue supplément : la pluie que la marche
d’approche.
Vos narrateur adoré :
Léo et Adrien
Commentaire de Camille
Journée du 25 octobre 2016
Traversée Dupleissi – Reymonde
Nous avons été un petit groupe pour cette traversée avec comme participants : Zélie, Corentinn Arthur, Camille, Adeline et Mathieu.
Tout d’abord, nous avons eu quelques difficultés à trouver l’entrée du Dupleissi, se trouvant dans une doline. Il y a que ça des dolines !
Zélie commence les hostilités en équipant le P50 d’entrée qui est très volumineux. Une fois tout le groupe arrivé au même niveau, nous avons continué notre progression : beaucoup de petites escalades, d’oppositions (dur dur).
La particularité des cavités des Pyrénées se sont leurs volumes et il est vrai que nous sommes tombés sur de belles salles (hauteur indeterminée).
La première partie de la traversé est relativement séche jusqu’à ce que l’on arrive à une salle avec une grande cascade : la corde est positionnée en plein milieu de cette salle.
Malheureusement, cette remontée n’était que le début de notre progression dans l’eau. Apès avoir croisé l’autre groupe, nous avons remonté la rivière : au grand plaisir de Coco et ces rales (ces bottes étaient rempli d’eau). Puis une fois avoir grimpé quelques cascades, remontés des petits puits, nous sommes arrivés au P40 ! Big puit sans fractionnement…ô désespoir !!!! Mais après ça, c’était pas fini ! Une belle étroiture nous attendait un peu plus loin. « Certains y ont tapés de belles crises et chanté une cascade de mots poétiques !!!! hi ha ho hi ha ho !!!!!
Journée du 26 octobre 2016
Traversé PDG – Bernard
Sur cette sortie, nous avons Coco, Prune, Ben’s, Davis et Camille.
Tout d’abord, pour accéder à la magnifique entrée du PDG, il faut mettre un pied devant l’autre pendant 50 minutes. Oui 50 minutes sur une pente raide (j’étais au bout de ma vie).
Ensuite, il a fallu descendre le P40 qui est assez dangereux car on peut se recevoir des cailloux (un vrai entonnoir). Mais en soit, on a descendu le PDG en 45 minutes et tout le monde a pu équiper. Seulement en bas du PDG, nous avons dû chercher la jonction avec le Bernard. Nous avons visité la cavité pendant ¾ heures avant de la trouver. Ahhhhhh, cette jonction de …..BIP……. !!!!
En effet, on a fait de nombreux aller/retour, vu plusieurs grandes salles, franchis des étroitures, monté beaucoup d’oppo,…etc. Vraiment dur, mais bon… C’est la faute de la topographie qu iest très mal dessinée. Rohoooo !!! Ha ha ha ha !!!
Finalement au bout de 4 heure, nous avons enfin trouvé l’accés de la jonction grace à une bouteille d’eau. Mais…pas de corde au puit terminal du Bernard. ????
Alors, bien fatigué, on a fait demi-tour jusqu’au PDG (on a trouvé un petit raccourci) et nous sommes sortis vers les 19h00 de la cavité.
En rentrant au chalet de Paloumère, les pieds meurtris, nous avons été accueillis par une belle tartiflette et de bonnes crêpes !!! Miam miam miam !!!
Nous avons appris par la suite que l’équipe du Bernard n’ont jamais trouvé l’entrée du trou du Bernard (4 heures de recherche) pourtant ils ont cherché cette P***** d’entrée.
Grosse sortie pour le groupe du PDG : 8h30 sous terre.
Pour l’équipe du Bernard, noous somme rentrés à la maison avec un sentiment….gros sur la patate. Du coup, nous somme retourné sur la zone du Reymonde à la recherche du trou d’If. Nous filons sur les corde, tape le fond et déséquipons dans la foulé. Compte rendu supervisé par l’unique et le seul Coco dit Jésus et reecture par la seule et grande et merveilleuse vertaco, Zélie !
Journée du 27 octobre 2016
Barnache et Péne Blanque
Aujourd’hui nous avions Prune, Corentin, Camille et David.
Le petit groupe est allé au Barnache avec des kits remplis à bloc. Nous avons rapidement trouvé l’accé et nous voilà dans le P15 d’entrée vers les 11h00.
Nous avons un peu progressé en passant une petite étroiture et descendant un puit de 8 mètres.
Seulement voilà : nous nous sommes retrouvés face à une étroiture +++ !!!
En effet, cette saleté d’étroiture est très sélective et n’a pas permis à la grande geule de Corentin de passer. Il n’y a que Prune qui a osé la franchir.
Finalement, nous avons décidé de remonter à notre -200 et de remonter à la surface.
Après avoir mangé, nous voilà reparti avec le camion vers Pène Blanque. Pour cette cavité, une approche d’une heure nous attendait !!! Nous avons mis 45 minutes pour l’aller et 15 minutes pour le retour.
Pendant une bonne heure, nous avons progressé fdans cette cavité. David a fait quelque quelques cairns pour facilité la sortie d’un autre groupe qui effectuait PDG – Pène Blanque.
Nous étions au bus à 18h15.
Camille.
PS : Petite sortie mais…a permis de nous muscler les cuisses avec ces « longues marches d’approches ».